Non à la modification du PLU d'ALBA LA ROMAINE

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#376 Re: Re: Re: Réunion à la Préfecture 07

2012-05-22 10:10

#375: - Re: Re: Réunion à la Préfecture 07

30ans  que  je voies   9hectares  de foin   pas de  petits  jardin   avec  des legumes   ...  350 maisons   sa  feras  350  petits  jardins


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#377 Re: Re: Re: Re: Réunion à la Préfecture 07

2012-05-22 23:04

#376: - Re: Re: Re: Réunion à la Préfecture 07

ça fera aussi 350 voitures...pardon 700 avec celle de Mme...mais vous avez raison : le nombre de petits pois de ces petits jardins l'emportera sur le nombre de voitures...bon appetit m'sieur !!!


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#378 Re: Re: Re: Re: Réunion à la Préfecture 07

2012-05-23 04:53

#376: - Re: Re: Re: Réunion à la Préfecture 07

changez d'ophtalmo 376.

...ouvrez grand les yeux et vous pourrez même constater la présence d'une vigne. Vous savez pas un unique pieds de vigne vierge qui "paysage " un pavillon... une vraie vigne qui fait vivre une vraie famille , vous découvrirez aussi avec stupeur des arbres sans tuteur...dingue des arbres comme dans la "vraie nature". Vivement qu'on les arrache pour contruire une belle route bordée de beaux arbres calibrés et taillés au carré entre lesquelles vous pourrez défiler avec vos belles voitures. chouette la ville débarque à alba avec ses 350 petits jardins arrosés grâce à l'eau de la ville...

Nous comptions voir le débat s'élever... et bien non ! faute d'argument les promoteurs du tout béton continuent leur bobopropos et leur contre vérité.

 


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#379 Conseil municipal lundi 4 juin à 19h00

2012-05-27 17:09

Délibération du conseil municipal à propos de la modification du PLU suite à la demande de rectification de la préfecture : lundi 4 juin à 19h00.
Venez nombreux marquer votre opposition à l'urbanisation massive de notre village.

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#380 Re: Conseil municipal lundi 4 juin à 19h00

2012-05-28 09:12

#379: - Conseil municipal lundi 4 juin à 19h00

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2012-05-28 11:01



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#382 Re:

2012-05-28 22:45

#381: -

D'accord avec toi loulou, mais si il pleut le matin on ira l'après-midi, prends quelque chose de bien étanche, tu verras ça ira mieux


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#383

2012-05-29 12:29

Pourquoi faudrait il revoter quelque chose que les hautes autorités municipales nous ont présenté comme l'aboutissement d'un travail irréprochable ?
Il y a des failles dans vos dossiers.

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#384 Re:

2012-05-29 16:48

#383: -

bien  vue   les  terrains  se  vende  depuis   bien  des  mois   un  terrain  c'est  vendue  vendredi  85000 euro    a   mon   gen...  la  1 er  maison   sortiras  de  terre  d'ici  juillet   la  maison  orpi  a  dejas bien  des  client


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#385 Re: Re:

2012-06-01 23:47

#384: - Re:

Bonsoir,

Sans indiscretion, peut-on savoir la surface du terrain en question ?

Sans réponse de votre part, je comprendrais tout à fait.

Cordialement


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#386

2012-06-02 00:10

85000 ça doit faire environ 850-900 m² de construcible. le reste en non constructible.
Terrain non viabilisé.

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#387 Re:

2012-06-02 08:36

#386: -

vous  avez   tout   bon  pour  le  moment  une  partie  seras  pas  constructrible   mais   dans  1 ou  2  ans.........


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#388

2012-06-03 22:19

Super, Champagne !

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#389 re

2012-06-04 09:00

pour quoi?

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#390

2012-06-04 14:23

pour avoir acheté un terrain en partie constructible avec un potentiel pour plus tard.

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#391

2012-06-05 20:27

« Un homme d'expérience ne devrait jamais s’égarer dans le concret. L'abstrait reste l'âme des affaires. »
de Michel Audiard
Dialogue du film Quand passent les faisans

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#392 Re:

2012-06-07 09:12

#391: -

oui    je  suis  realiste   je ne suis   pas  poete

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2012-06-07 10:55


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2012-06-07 10:58


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2012-06-07 11:01


Lire le Monde

#396 voilà pourquoi il faut protéger des terrains comme la grand terre

2012-06-08 12:16


Pourquoi manger local ?


200 km à la ronde est LE documentaire réalité à ne pas louper dès ce soir sur France 5. L'émission, tournée il y a un an dans la région toulousaine, a demandé à cinq familles d'expérimenter pendant un mois un alimentation totalement relocalisée. L'occasion de faire le point sur les raisons qui animent les locavores, ces mangeurs saisonnariens à tendance pétrophobe - dont je fais partie, à ma petite échelle...

L'uniformisation du monde

Les locavores ne jettent pas la pierre à la mondialisation et aux avancées économiques et sociales qu'elle a engendrées, mais déplorent de retrouver partout les mêmes boutiques, les mêmes chaînes de restaurant, les mêmes marques et logos... La globalisation des échanges commerciaux a provoqué malgré elle un certain nivellement des goûts contre lequel s'insurgent les membres du réseau Slow Food par exemple. L'ouvrage de Naomi Klein, No Logo, incarne également ce ras-le-bol face aux excès et aux inégalités créées par le système. Ils défendent un respect des traditions culinaires traditionnelles et locales.

Le gaspillage alimentaire

Autre raison et pas des moindres : la malbouffe, l'hyper-alimentation et le gaspillage alimentaire. On ne nous apprend pas assez les rudiments d'une bonne alimentation et, trop souvent, on vit pour acheter plutôt que d'acheter pour vivre.

Manger local, c'est retrouver un lien au temps, aux saisons, aux saveurs, c'est limiter au maximum les additifs alimentaires, colorants et autres éléments comme l'huile de palme, les acides gras trans, les sulfites, etc.

Le toujours plus

Plus vite, plus loin... au point de doper le temps de pousse des fruits et légumes à hautes doses d'engrais et de pesticides, au point d'optimiser le cycle de vie du vivant qui est industrialisé dans des conditions déplorables... Ecoutez Claude Bourguignon (agronome fondateur du LAMS : Laboratoire d'Analyse Microbiologique des Sols) en parler dans cet extrait du documentaire de Coline Serreau, Solutions locales pour un désordre global :



Les locavores souhaitent raccourcir la distance qui sépare la fourche de la fourchette (2000 km en France, au Royaume-Uni en 20 ans, la distance parcourue par les produits alimentaire a augmenté de 50 %).

Le contrôle de l'alimentation

Les adeptes du locavorisme se positionnent moins en rebelles du système qu'en citoyens ayant à coeur de ne pas le subir. Maîtriser son alimentation, c'est aussi se préserver d'une certaine insécurité alimentaire liée à des scandales alimentaires d'une part, et à un manque d'autonomie alimentaire des régions d'autre part. Face à une rupture d'approvisionnement, savez-vous que la région Île-de-France ne dispose que de quelques jours de souveraineté alimentaire par exemple ?

L'eau virtuelle

Une raison peu évoquée et pourtant bien réelle, l'eau contenue dans les produits de consommation, aussi qualifiée d'eau d'emprunt. En faisant venir des ressources de l'autre bout du monde, et notamment de pays qui sont plus pauvres en eau, on prive les populations de ces pays d'une partie de leurs ressources en eau. En Thaïlande par exemple, un quart de l'eau disponible est utilisée pour produire des denrées agricoles destinées à l'exportation.

L'agriculture intensive

Est-il encore nécessaire de revenir sur ses effets ? les méthodes de cultures intensives ont des effets désastreux sur les sols (érosion, désertifications, perte de fertilité, taux de productivité agricole en baisse) et la biodiversité. Dire que le printemps silencieux de Rachel Carlson a été écrit il y a 50 ans déjà... Je me demande parfois si ma fille pourra encore apercevoir les vols d'hirondelles au printemps, quand elle aura mon âge...

Il a même été prouvé la semaine dernière que les OGM ont perdu la guerre contre les "mauvaises herbes", un argumentaire de plus (s'il en faut...) pour remettre en cause leur usage. Je vous conseille aussi la lecture du dernier livre de Marie-Monique Robin, Notre poison quotidien, ça calme.



La réduction des variétés dans l'assiette

Savez-vous que le nombre de légumes non hybrides est passé de 5000 à 600 entre 1981 et 1998 ? De plusieurs centaines de variétés de pommes dont nous disposions auparavant, nous n'avons que 5 ou 6 dans les rayons de supermarchés, toujours plus rondes et flamboyantes... les mêmes, partout. Les locavores militent pour le respect des semences dites anciennes, et pour la préservation de variétés qui tendent à disparaître.

Ils soutiennent donc des initiatives comme Kokopelli, Oh légumes oubliés, les Fruits retrouvés, le conservatoire de la tomate en Touraine... et j'en passe.

L'appauvrissement de l'économie locale

Last but not least, l'aspect économique. L'argent investi dans une entreprise locale génère plus d'argent pour le territoire et ses infrastructure que l'argent dépensé dans un supermarché par exemple. La New Economic Foundation a beaucoup travaillé sur le sujet et les spécialistes des monnaies locales l'expliquent aussi clairement, en insistant notamment sur la richesse des liens créés. Relocaliser sa consommation, c'est soutenir son territoire. Attention à ne pas tomber dans une logique nationaliste bien sûr... il s'agit seulement d'une logique localiste, la nuance est grande !

Comment faire ?

Relocaliser son alimentation, cela ne se fait pas du jour au lendemain. Le mieux est d'analyser ses habitudes alimentaires, de tester d'autres lieux d'achats (délaisser les supermarchés pour fréquenter un peu plus les marchés de producteurs, aller dans une AMAP ou dans une ruche), se renseigner sur les fruits et légumes de saison, retrouver le plaisir de cuisiner et passer du temps avec ses proches à savourer autrement le moment des repas, etc.

Pour être une adepte du locavorisme depuis 3 ans maintenant, je ne saurai que vous conseiller de suivre les 6 diffusions du documentaire réalité qui sera diffusé dès ce soir sur France 5. Pour ne rien vous cacher j'ai été consultée dans sa réalisation et je crois que je serai à l'écran dans l'une des deux premières émissions - ayant aidé les familles dans leurs premiers pas, je sais qu'ils ont tous adoré cette expérience (enfin de la télé intelligente non ?) ! Voilà d'ailleurs un premier extrait de l'épisode qui sera diffusé ce soir:



Alors, quand franchissez-vous le pas ? ;)

Pour aller plus loin

Le blog 200 km à la ronde
Locavore'Spirit petit blog qui accompagne un guide sur le sujet ;)
A lire: l'avis de l'ADEME sur les circuits courts alimentaire de proximité (PDF)
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#397

2012-06-08 15:06

Petites remarques du bon sens paysan en action:

- Il pousse dans les jardins d'Alba, plus de légumes que dans l'ensemble des terres cultivées par les agriculteurs albains à des fins commerciales.

- les fruits et légumes qui pousseront à la Grand Terre ces prochaines années seront sans doute plus nombreux que ceux qui y ont poussé ces 30 dernières années !!!!!









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#398

2012-06-08 21:23

ils arroseront leurs jolis jardins avec quoi???
Petitspoiscarottesnavets

#399

2012-06-08 22:41

Après avoir parlé du plu, nous sombrons dans la légumosité: quel désastre !

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#400

2012-06-09 11:32

C'est vrai que si Alba la Romaine avait les ressources naturelles des plaines sableuses et aluviales, on y vérait des cultures légumières depuis des centaines d'années.
Hélas, les réserves en eau ne permettent pas une agriculture gourmande.
D'autre part, pour ceux qui connaissent un peu la terre, les terres lourdes (argileuses) et/ou caillouteuses d'Alba ne sont certainement pas les plus propices au maraichage.
Pour le jardinage en revanche, c'est plus facile car le jardinier peut améliorer la structure de son sol par des apports massifs en matière organique, voir en sable pour alléger.
Concernant l'eau, le jardinier peut prélever dans la nappe d'Alba. Toutefois, cette nappe n'est pas très importante, le jardinier d'Alba veillera donc à récupérer ses eaux de toitures et s'abstiendra d'arroser son gazon !!! Il pourra même utiliser du micro-arrosage et des techniques de paillage. Il apprendra aussi que le sol est une éponge capable de retenir 150 mm d'eau en conditions argileuses. Il évitera donc les arrosages dès que la surface est sèche. Les besoins en eau d'une plante ne dépassent que rarement les 5 mm/j, soit 5 l/m²/j (plante en pleine végétation et températures élevées).