BEZONS (95) : SAUVONS LES ARBRES DU PARC ALBERT BETTENCOURT

BEZONS (95) : SAUVONS LES ARBRES DU PARC ALBERT BETTENCOURT / Annonces / fin de l'enquête publique / Commentaires


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#1

2013-07-13 14:03

Oui, nous rapportons ici le propos d'une personne (novice en la matière avec un certificat d'étude on n'imagine pas les arcanes juridique du droit public pour ne pas que son avis soit fait hors des règles de validité de sa déposition) qui a montré son brouillon à Alain, mais c'est LE COMMISSAIRE-ENQUÊTEUR qui a rédigé lui-même, en résumant, ce brouillon sur son livre, mais il était question de COLLER le brouillon sur le livre, et subtilité majeure, la personne n'a pas "pensé" ou été sollicitée pour SIGNER (et relire ?) le texte rédigé, résumé sur le livre par le commissaire enquêteur.
Loufoque...
1. On constate sur le terrain vague de Villemain un dépot de déchets industriels en masse (qq dizaines de m³)... La Police contactée, elle a assuré qu'"ils" avaient le droit (une semaine)...
2. Lorsque vous dites : "toute chose anormale que vous pourrez voir dans la zone de la ZAC et spécialement autour des arbres, et qui pourrait signifier des préparatifs de travaux ou un début d'abattage."
Quid d'activités (exemples) menées par des enfants, primaire, collège, encadrées par leurs professeurs consistant à "ramasser des pierres", faire de (faux, avec des enfants) terrassements aménagements du stade, du parc sans aucune déclaration (comme des "jeux dans centre aéré") ou permis de construction/démolition mais réalisés de manière libre et personnelle (jeux, jardinages qui fini en "labourages" et déracinages...) sans aucun objet "légal" ou "déclaré" ? Dans les "limites" de "choses", activités réalisables sans "permis" ? Et si c'est illégal (au sens juridique), qui pour s'y opposer (comme des Roms en colère qui jouent de la tronçonneuse en ville, dégradations ou vendalisme). La police ? Des référés de justice ? Et si aucune autorité légale ne peut/veut agir n'ayant aucun fondement juridique (dans quel code ? on en a 75 au bas mot en France) à leur intervention, que faire (dirait Lénine) ? Bien des autorités légales ne peuvent s'auto-saisir en France en face d'un crime, d'un délit lorsqu'elles en sont témoin, il nous faut au moins une plainte, un fondement juridique à la plainte, voire un constitution d'une partie civile (l'Etat contre Bernard Tapie, Kerviel contre la SG) et saisie d'un juge d'instruction (civile ? pénal ? tribunal administratif ?) de la circonscription pour ouvrir une enquête.
Enfin, non j'en parlerai de vive voie. Des mauvais souvenir d'un "rendez-vous à Caluire" pour Jean Moulin.
Rex

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#2

2013-07-13 14:11

Bravo ! A Suresnes aussi, l'enquête publique est close. Il conviendrait peut-être, entre gens de bonne volonté, de regrouper nos efforts pour pouvoir s'informer plus précisément. Exemple : si à l'issue des enquêtes publiques, votre et notre parole n'est pas prise en compte, quels sont les recours juridiques possibles ? Là, je cale !
Bien à vous.

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#3

2013-07-13 14:23

En quoi consite l'autre Avis d'Enquête Public (fiches jaune) (maire, salle Romain ROLLAND rue Edouard Vaillant) sur une dizaine de ville sur le 78, 95, 92 ? Quid d'un mauvais esprit à l'âme noire qui ferait l'amalgame des 2 enquêtes pour présenter les doc. de l'un en lieu et place de l'aurte (c'est quoi, l'autre) pour signifier sur le 2ème Avis, "non, non nous n'avons reçu aucun avis du public, rien ne s'oppose dont à la mise en oeuvre" en "rempaçant" une enquête par l'autre, sur laquelle nul ne semble s'être exprimé...

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#4 Re:

2013-07-13 14:25

#2: - oui, quelle était le sujet de l'enquête publique sur Suresnes ? Ici, on s'est focalisé sur le quartier et non sur la région.t

 


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#5

2013-10-05 07:56

Il ne suffit pas de bétonner sans arrêt, il faut aussi de la vie animale et végétale, ne pas voter pour le renouvellement de ce Maire serait une excellente chose pour faire bouger tout çà.

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#6

2015-02-08 18:08

Je suis contre l'abattage de tous arbres à Bezons, il faudrait surtout en replanter sans emprisonner leur racines dans le bitume.