Pétition pour le maintien intégral du budget du FRQ

J’appuie la démarche face au « dé-financement » des universités québécoises

Cutting funding for undergraduate training, cutting funding for research, imposing greater restrictions on freedom of choice in education and use of language, both of which deter highly qualified anglophones and allophones from coming to contribute to knowledge and financial wealth of Quebec, all show an insular lack of vision and wisdom among Quebec politicians, especially of this government.

Une telle coupure subite d'environ 30% dans le FQRNT aura des effets négatifs majeurs sur la formation de haut niveau et la recherche en sciences et génie au Québec. C'est vraiment de la gestion à courte vue.

Une façon **choc** d'interpeler notre gouvernement est de « se désoler qu'il abandonne la recherche au gouvernement fédéral »... N'est-ce pas dans les faits ce qui est en train de se passer???

Wow! Cette action et les coupures aux universités me fait penser au gouvernement de Mike Harris. Est-ce vraiment possible au Québec avec un gouvernement PQ?

Ce gouvernement marche sur la tête et renie tous ses principes. Le Québec deviendra une sous-nation, ses éléments les plus brillants partirons en Ontario ou aux USA, et il devra acheter les droits d'exploitation de brevets étrangers, dont rapidement il ne comprendra plus le mode de fonctionnement.

L'éducation et la recherche sont bafoués, le niveau intellectuel va rapidement baisser, et la corruption va rapidement augmenter (si, c'est possible). République bananière mais sans les bananes, les autres provinces Canadiennes nous paierons pour que nous devenions indépendants, comme on se débarrasse d'un furoncle ou d'une tumeur. Après tout, c'est peut être cela le plan MAROIS !!!

Couper dans l'éducation c'est hypothéquer le future d'un pays.

Évitez la faillite, investissez dans l'éducation.

Je ne sais pas a quoi joue madame Marois, mais ce n'est pas le jeu qu'elle avait annoncée avant les élections. Elle fait du Lucien bouchard, ce qui est la pire chose a faire pour le Québec.

La coupure annoncée, qui concerne à des niveaux et dans des proportions variables les trois fonds québécois, aura des effets délétères particuliers pour ce qui est de la recherche sociale au Québec. Elle agira en synergie avec les coupures ou gels (donc coupures compte tenu des conditions objectives du financement de la recherche universitaire) déjà réalisés par les organismes fédéraux tels le CRSH, le CRSNG et les IRSC. Au Québec, l'émergence des fonds dédiés comme l'ex FCAR ou l'ex CQRSC "réincarnés" sous forme de FQRSC a permis aux chercheures et au chercheurs en sciences humaines et sociales de construire des infrastructures plus ou moins pérennes (Centres et équipes de recherche) dont le rendement scientifique et l'impact sur la formation de la relève se sont avéré significatifs dans les 20 dernières années. L'emphase mise par le FQRSC sur l'importance des activités de transfert des activités de recherche subventionnée à permis, non seulement l'explosion de la diffusion des bonnes pratiques fondées sur des données probantes auprès de populations significatives de praticiennes et de praticiens mais aussi d'établir une tradition chez les acteurs de la relève (étudiantes et étudiants aux cycles supérieurs et jeunes chercheurs) où la pertinence sociale et la pertinence scientifique des activités de recherche sont d'égale importance et toutes deux... incontournables. Par la mise en péril du dynamisme et de la perennité même des unités de recherche universitaire, l'État québécois manifeste encore une fois sa courte vue. Il menace encore une fois la qualité et la perennité de l'innovation en matière de recherche sociale mais aussi en matière de pratique sociale. Si je me fie à l'expérience vécue durant les dernières 21 années, la coupure du soutien financier au FQRSC, équivalente voire plus drastique encore, réalisée au début des années 2000 par un gouvernement du même parti au pouvoir, a eu des effets dévastateurs, notamment au plan des infrastructures de recherche. Le réinvestisssement effectué par le gouvernement sortant entre 2007 et 2012 dans le cadre de la Stratégie québécoise de la recherche et de l’innovation (SQRI)n'a pas suffi à compenser les dommages créés il y a une décennie. Quand les ministres tutélaires de la recherche universitaire au Québec comprendront-ils que les dommages qu'ils causent par une simple opération budgétaire une année ne s'effacent pas par une promesse d'éventuels réinvestissement deux, trois ou dix ans plus tard ? C'est la qualité et la quantité de labeur d'une génération de chercheurs que leurs décision mettent à la poubelle. L'horizon 2017-2020 c'est la retraite pour toute une génération de celles et ceux qui ont construits les infrastructures de recherche sociale actuelles. Je refuse de proclamer "après moi le monde" et je suis attristé par les conditions d'exercice du beau métier de chercheur que l'État et, dans une certaine mesure, nos institutions universitaires, préparent pour la relève. À bon entendeur...

#7: -

 

Des coupures inquiétantes qui envoie un mauvais signal aux jeunes qui envisagent faire carrière en recherche. L'espace que les fonds publics laisse tomber en recherche fondamentale, c'est le privé qui va le prendre pour la recherche appliquée. Les chercheurs sont là, et ils ont besoin de fonds pour vivre.

À mon avis, ces coupures sont un manque de vision qui nuit au développement du Québec. L'investissement en recherche permet de maintenir nos cerveaux au Québec, d'en former d'autres et de favoriser l'émergence de nouvelles technologies. Si il y a un domaine dont on peut être fier au Québec, c'est assurément sur la qualité de nos chercheurs. Il faut les soutenir davantage, il s'agit d'un investissement pour l'avenir.

On ne pourra jamais compétitionner les pays à économies émergentes comme la Chine ou l'Inde en fabriquant des produits de consommation courante, on n'arrivera jamais à des couts de production aussi bas queux. Notre seule façon de se démarquer est d'inventer de nouvelles technologies, de se démarquer et de créer avec notre ingéniosité, des inventions qui nous permettront de faire face aux problèmes environnementaux, de santé publique et d'énergie. SOUTENEZ la reccherche, c'est vraiment dans l'intérêt de tous.

participant à un forum francophone d'origine québecois pour soutenir ceux atteints d'un cancer , je suis affligée de voir comment dans ce grand pays civilisé qu'est le Canada , comment donc on ne peut soigner décemment le cancer , comment les patients doivent attendre des mois pour être soigner , comment on leur fait dire des 500 miles pour recevoir leur chimio ..

Ce que l'on promet en campagne et ce que l'on fait, c'est toujours deux choses bien distinctes en politique...
La recherche est essentielle pour mes patients. Le Québec se doit d'y contribuer et même d'augmenter le support financier pour le FRQ mais le diminuer ????

J'appuie la cause, mais je vois que certaines chercheurs abusent des fonds qui sont dédiés pour la recherches à des fins personnels. Et c'est normal qu'un jour cette source de fonds ne pourra pas être disponbile et certaines personnes doivent payer pour les fautes des autres... Il faut vraiment contrôler les dépenses des abuseurs pour donner la chance aux autres...

#68: une autre frustrée du domaine de la santé - Mme Marois et le FRQ

 

La recherche est primordiale et la santé est notre bien le plus précieux. Couper dans la recherche,
c'est couper dans notre bien le plus précieux. C'est nous appauvrir, c'est reculer.Vous avez donné aux étudiants pr couper dans la recherche. C'est le contraire que vous auriez dû faire.

c'est drôle le gouvernement du Québec coupe dans tous les secteurs pour respecter le déficit Zéro de l'année prochaine, par contre je n'ai pas souvenir qu'il y ait des coupes dans les salaires des ministres ou des députés, ni dans les budgets de fonctionnement des ministères......les Péquistes qui font souvent référence au gouvernement français devrait prendre exemple sur les mesures que le président Hollande a pris en diminuant les salaires des élus, ça aussi c'est un moyen d'atteindre l'objectif du déficit Zéro

La recherche aux États-Unis et en France a permis la découverte de 2 vaccins contre la polio dans les annêes 50, et cette terrible maladie est aujourd'hui éradiquée sauf en Afrique où on ne vaccine malheureusement pas partout.
Souffrant aujourd'hui du syndrome post polio, une maladie dêgénérative musculaire incurable, je ne puis compter sur une recherche qui ne présenterait aucun intérêt pour les pharmaceutiques.
Mais je me bats pour que le Québec permette le suicide assistê dans des cas comme le mien, et investisse dans la recherche et le maintien à domicile plutôt que de dépenser nos trop rares ressources pour la vie à tout prix.

je suis atteinte de maladies complexes et rares depuis 2006. Le regroupement québecois des maladies orphelines travail très fort pour trouver et aider à mon cas. Vous n'avez pas compris que de couper 10millions dans le budjet existant aura un effet directe sur toute les recherches en marches et les attentes des gens très malades. je considère que c'est un geste irréfléchi.Moi comme tant d'autres avons besoins que le budjet de la santé soit considéré comme capital important pour toute notre société malade. Ce serait irresponsable de coupé dans la santé. Très cordialement Hélène Gauthier

Je demande l'annulation des coupures en recherche. Non mais qui sont ces élus qui se permettent de sabrer dans ce secteur d'activité vital pour la population du Québec.