Pour le maintien du Pr. Souhail Chichah à l'ULB

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#76

2012-02-11 03:10

Caroline Fourest a des amis et particulièrement des amies au Québec également, on peut nommer entre autres, Louise Mailloux, du Collectif pour la Laïcité et l'Égalité, Djemilah Ben Habib, du même groupe («Ma vie à Contre-Coran»). Elles ont des relais médiatiques comme Le Devoir au Québec qui, malheureusement renoue avec sa tradition anti-sémite en versant dans l'islamophobie... Non aux racistes déguisés en laïcistes!

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#77 La liberté de parole a été respectée ce jour là. Mais c'est mr Chichah qui l'a bafouée.

2012-02-11 08:59


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#78 Re: dehors les arabes

2012-02-11 09:17

suayb ubn rumi

#79 Re:

2012-02-11 11:17

#1: -

Elle est citée à l'article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme (résolution sans valeur contraignante) comme suit :

« Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. »

 


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#80

2012-02-11 13:31

je suis de toute les religions et d'aucune a la fois, je ne supporte pas la stigmatisation, qui provoque lea peur qui divise les etres humains. Tariq Ramadan n'a pas de double langage, il oeuvre pour l'union des etres humains.

lorsqu'on n'a pas la possibilité de s'exprimer, on fait comme on peut , tout mon soutien a celles et ceux qui ont scandé "burka blabla" faute d'avoir ete invité a s'exprimer.

<3

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#81

2012-02-11 13:33

Cette dame est bien connue pour son islamophobie viscérale, ces mensonges, ces manipulations, elle a une crédibilité négatif et on lui donne une tribune à l'ULB, ça sent de loin les réseaux secret...

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#82

2012-02-11 14:00

" Peut on parler de tout ? peut on rire de tout ? peut on tout critique ? Y a t il une limite à la liberté d'expression ? Le legislateur doit il délimiter cette liberté d'expression ? Cette dernière est elle relative ou absolue ? " Il y a là matière à débat , certainement .

Doit on museler un universitaire sous prétexte qu'il n'approuve pas les propos de X ou Y interlocuteur ? Il y a là un abus certain qu'elle qu'en soit l'instigateur.

Toujours est il qu'il n y a strictement aucune raison , au vue des évenements , que sous le poid d'une certaine frange de l'opinion publique , celà aboutissent à la destitution d'un professeur de l" Université LIBRE de Bruxelles.

Salutations.

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#83

2012-02-11 14:39

je ne suis pas d'accord avec la methode de mr chichah, mais je suis d'accord sur le fond...il est curieux que l'ulb persiste à inviter des intellectuels faussaires, véritable seril-menteuse - pour reprendre les termes à cson égard de Pascal Boniface, au nom de la (pseudo) liberté d'expression! la est le vrai scanale!
Karima

#84

2012-02-11 14:40

Soutien Total à vous Pr. Souhail Chichah !

Bravo d'avoir démasqué cette islamophobe hystérique, menteuse qui a fait son beurre sur le dos des arabes !

ELLE EST PIRE QUE MARINE LEPEN, IL SUFFIT DE LIRE SA LITTÉRATURE POUR COMPRENDRE À QUI ON A AFFAIRE !!!

IL SUFFIT DE VOIR QUI SONT SES AMIS POUR COMPRENDRE SON IDÉOLOGIE !!

A FOND AVEC VOUS !!

Karima

#85

2012-02-11 14:43

Voici la traduction de l'article de Caroline Fourest "WAR ON EURABIA

PARIS – Le monde occidental, et l’Europe en particulier, est le principal champ de bataille des islamistes. Les services secrets déjouent régulièrement des attentats terroristes dont les cibles se situent sur le sol européen. Au cours des dernières semaines, la France, l’Allemagne et l’Italie ont chacune démasqué des cellules terroristes supposées, y compris des recruteurs pour l’insurrection irakienne.

Mais l’Europe est aussi la ligne de front des islamistes privilégiant une approche plus « politique ». Il y a presque cinq ans, le Cheik Youssouf Qaradhawi, imam-star de la chaîne d’information al-Jazeera, et Président du Conseil Européen de la Fatwa, s’est montré très clair : « Avec la volonté d’Allah, l’Islam reviendra en Europe, et les Européens se convertiront à l’Islam. Ils seront dès lors en mesure de propager l’Islam au monde entier. » Ce théologien – bénéficiant d’une large audience dans le monde arabe et en Europe – ne pense pas que la reconquête ait besoin d’être violente. Pour lui, la religion musulmane préparera le terrain. « J’affirme que cette fois, la conquête ne s’effectuera pas par l’épée, mais par le prosélytisme et l’idéologie. »

Les islamistes formés ou influencés par la Confrérie des Frères musulmans, le groupe égyptien fondé par Hassan al-Banna en 1928, partagent cette vision. Depuis leur tentative avortée de prise de pouvoir en Egypte, et plus encore depuis leur défaite dans la guerre civile algérienne, l’Europe est devenue leur première priorité : le troisième round des islamistes. Qu’ils choisissent l’option djihadiste, comme Aymen al-Zawahiri – le n°2 et théoricien d’al-Qaïda, ou qu’ils optent pour une approche « réformiste », les islamistes inspirés par la Confrérie des Frères musulmans poursuivent tous le même rêve, formulé par Hassan al-Banna : « faire flotter le drapeau de l’Islam partout où vit un musulman. »

Leurs stratégies divergent. Les terroristes ciblent par la violence les symboles de l’Occident. Les réformateurs, par contre, ont fait de la lutte contre l’occidentalisation leur priorité – une lutte qu’ils mènent depuis l’Europe, à travers des mosquées, des émissions de radio et des publications. En Afrique du Nord et au Moyen Orient, où ils posent une menace directe pour les régimes en place, ils sont étroitement surveillés, voire même persécutés. Mais en Europe, ils profitent de la liberté d’expression et de la démocratie, ainsi que de l’incapacité des immigrants arabes à s’intégrer. Ils y recrutent à leur aise – offrant à des milliers de musulmans aliénés une nouvelle fierté et une famille politique unie par la croyance en l’Islam radical.

L’Occident est utilisé comme une formidable base arrière pour recruter de nouvelles troupes. Grâce à elles, les islamistes espèrent prendre leur revanche en Orient. C’est pourquoi les leaders de l’Islam politique radical se trouvent plus souvent à Londres ou à Genève qu’à Kaboul ou à Bagdad.

« Londonistan »

Youssuf Qaradhawi, l’imam télégénique, fut jadis le favori pour devenir le Guide Officiel de la Confrérie des Frères musulmans en Egypte. Mais il refusa, arguant que sa mission en Europe était prioritaire. En réalité, il conserve un grand pouvoir d’influence en président le Conseil Européen de la Fatwa, qui prononce les fatwas (jugements religieux) à l’attention des musulmans européens. Une de ces fatwas justifie l’usage d’attentats kamikaze contre des civils. Aucune autre autorité islamique, en Egypte ou en Iran, n’a jamais osé émettre un tel jugement. Le Hamas, branche armée de la Confrérie des Frères musulmans en Palestine, s’est servie de ce jugement européen pour justifier ses opérations. L’homme qui guide les musulmans d’Europe a aussi déclaré que tout contact avec les juifs doit se faire par « l’épée et le fusil ». Cela n’a pas empêché le maire de Londres, Ken Livingstone, de prendre Mr. Qaradhawi dans ses bras le 17 juillet lors d’un meeting en faveur du tchador organisé dans la capitale britannique.

Cette ville, devenue un havre de l’Islam radical, a désormais un nouveau surnom : « Londonistan ». Les figures médiatiques en sont bien connues : Abu Hamza, Abu Qatada ou Omar Bakri, un réfugié syrien qui n’a jamais caché son admiration pour Oussama Ben Laden.

Dans un registre moins médiatique, la Fondation Leicester a été créée par des islamistes pakistanais pour propager les idées de Sayyid Qutb, le penseur égyptien qui inspira l’appel au djihad d’Oussama Ben Laden contre les « tyrans apostats », et de Sayyid Abu’l-A’la Mawdudi, le théologien pakistanais qui recommande un retour à la loi de la Charia. Par l’intermédiaire d’un institut de propagande radicale, la fondation pakistanaise a reçu un prix des mains du Prince Charles – une preuve supplémentaire que les islamistes ont bien raison de parier sur la naïveté des démocraties occidentales. Peut-être ces états espèrent-ils, en échange, une relative protection de leur propre sol. La Grande-Bretagne semble néanmoins remettre cette politique en question depuis que la police a découvert des plans d’attaques terroristes. Mais n’est-il pas déjà trop tard ?

La Genève Connection

Autre havre des islamistes, la Suisse non plus ne s’est pas encore décidée à agir. Avec sa longue tradition de neutralité et son rôle de centre bancaire international, le pays hésite à s’attaquer aux islamistes, qui bénéficient encore du soutien moral – et souvent financier – des investisseurs saoudiens. Au début des années 60, sous le patronage et la protection de la famille royale saoudienne, Saïd Ramadan, le disciple favori d’Hassan al-Banna, est parvenu à établir un centre islamique à Genève, qui servit de refuge à la Confrérie des Frères musulmans et de camp de base pour les fondamentalistes s’efforçant d’islamiser le continent. Depuis sa mort en 1995, ses fils, tous membres du conseil d’administration du Centre Islamique de Genève, ont repris le flambeau.

Le directeur officiel du Centre, Hani Ramadan, vient d’être licencié par la Ministère suisse de l’Éducation pour avoir affirmé que la lapidation constituait un acte de purification, et pour avoir qualifié le SIDA de châtiment de Dieu dans un article au quotidien français Le Monde. Il est aussi célèbre pour avoir appelé les jeunes hommes à refuser de servir dans l’armée française pendant la Guerre d’Afghanistan, et pour avoir organisé plusieurs manifestations « contre les impies » aux portes des Nations Unies en compagnie d’anciens militants de l’organisation terroriste algérienne GIA. Le Centre Islamique de Genève a donné la parole à l’un d’eux le 2 octobre dernier. Un rapport des services secrets suisses inclut un témoignage d’un ancien initié du Centre Islamique de Genève qui affirme avoir pris part en 1991 à une rencontre entre Aymen al-Zawahiri, Omar Abdel-Rhaman – l’homme derrière l’attentat à la bombe du World Trade Center de 1993, et deux des fils de Saïd Ramadan : Hani et Tariq Ramadan.

Tariq Ramadan a fait l’objet de vastes débats en Europe et aux États-Unis. Engagé l’année dernière par Notre Dame pour enseigner la « paix entre les civilisations », les États-Unis lui ont refusé un visa pour des motifs de sécurité, ce qui leur a valu de multiples critiques. Mais en dépit de son message apparemment angélique et irréprochable, Tariq Ramadan n’est évidemment pas qualifié pour enseigner la « paix entre les civilisations ». Sur les plateaux de télévision et dans les nombreuses interviews qu’il donne à la presse, il se présente comme un homme de dialogue, sans aucun lien avec la Confrérie des Frères musulmans : un penseur qui ne fait que contextualiser la pensée de son grand-père, de son père ou de son frère.

Mais dans ses cassettes et ses livres, distribués dans les librairies et les magasins islamistes radicaux, il emploie un tout autre discours qui explique et glorifie l’enseignement et les méthodes de Hassan al-Banna, sans la moindre analyse critique. Cela fait de lui non plus seulement le petit-fils de son grand-père (ce que personne ne peut lui reprocher), mais son héritier politique. Lorsqu’on lui demande s’il approuve le meurtre d’un enfant Israélien de 8 ans qui deviendrait un soldat à l’âge adulte, Ramadan répond : « C’est est en lui-même moralement condamnable mais contextuellement explicable », dans la mesure où « la communauté internationale a abandonné les Palestiniens aux mains de leurs oppresseurs ».

Fidèle à la nouvelle orientation de la Confrérie des Frères musulmans, Tariq Ramadan a désigné l’Occident comme « dar el shaada », c’est-à-dire comme la terre où il doit accomplir sa mission religieuse. Il tire avantage de cette aura pour enseigner aux jeunes femmes qu’une bonne musulmane se doit d’être prude, et donc voilée, décrire l’homosexualité comme un « déséquilibre mental », justifier la polygamie, et décourager les mariages mixtes entre musulmans et non-musulmans. Plus encore, pour tout ce qui concerne la théologie, il conseille à son audience de se tourner vers son mentor, Youssouf Qaradhawi. Tout comme Mr. Qaradhawi, Tariq Ramadan dit ne pas avoir vu à ce jour de preuve de la responsabilité d’al-Qaïda dans les attentats du 11 septembre.

Tariq Ramadan veut faire de l’Amérique sa prochaine terre de mission, espérant séduire la communauté afro-américaine, et même la gauche étasunienne. Même si des intellectuels – souvent arabes et/ou musulmans – ont mis en garde contre son influence au cours des 15 dernières années, il y a toujours eu d’autres intellectuels, le plus souvent des progressistes occidentaux, pour se laisser berner par son double discours, allant jusqu’à prendre sa défense. Particulièrement lorsqu’il prétend être la victime d’une conspiration islamophobe ou sioniste.

Telle est à la fois la grandeur et la faiblesse de la démocratie : même ceux qui la détestent savent comment s’en servir à leur avantage. Que leurs méthodes soient terroristes ou simplement « politiques », les islamistes constituent une grave menace pour les démocraties occidentales. Est-il possible de tolérer indéfiniment ce mouvement de guérilla souterraine contre les libertés publiques et individuelles, au nom de ces mêmes libertés ? Par ailleurs, est-il possible de restreindre ces libertés sans abandonner les idéaux qui font la différence entre nous et les ennemis de la démocratie ? La solution est probablement entre les deux. Et elle requiert certainement le maintien d’une extrême vigilance.

Caroline Fourest , The Wall Street Journal, 2 février 2005 (texte traduit de l’anglais par M.R.)
Karima
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#86

2012-02-11 14:49

Caroline Fourest, cette Nouvelle   Déesse veut remplacer le Fameux : Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, par Au nom de la Sainte Laîcité, du Féminisme et du Lesbianisme !

 

AMEN, AMEN, AMEN !!!

Ici la pharase Culte de la Déesse Islamophobe, Caroline Fourest :

« Si l’islam n’a pas le monopole de la violence, il est le seul à bénéficier d’un stock de bombes humaines ».
Signé Soeur Caroline Fourest !

 

http://la-revanche.fr/wp-content/uploads/2011/01/Couverture-Sainte-Caro-21B.jpg...



Ici le lien d'une vidéo où Sadri Khiari enlève la Burka mental de Soeur Caroline
http://www.dailymotion.com/video/xguega_sainte-caroline-contre-tariq-ramadan-de-sadri-khiari_news


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#87 STOP

2012-02-11 14:52

Soutiens à Mr Chichah et stop à l'intimidation d'un certain lobbying ( Elie Cogan, V.Teitelbaum, Kottek et autres)

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#88

2012-02-11 14:56

Monsieur Souhail Chichah, je suis en train de collecter tous les articles qui mettent en évidence TOUS les mensonges que Caroline Fourest a publié, si ça vous intéresse , je peux vous les envoyer, il y en a un paquet !

Cordialement


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#89

2012-02-11 16:05

Burqa bla bla, burqa bla bla.....

Ce message a été supprimé par l'auteur de cette pétition (Montrer les détails)

2012-02-11 16:22



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#91

2012-02-11 16:37

je suis pour le maintien de Souhail Chichah à l'ulb évidemment. Néanmoins je trouve que sa prestation fut décevante.. Monsieur Souhail Chichah se présente comme un fervant laic (d'après les qques secondes qu'il a eu lors d'une intervieuw et qui est passée sur la une)alors ce que je ne comprend pas c pq scander "burqua bla bla", pq faire intervenir la burqua dans cette histoire? on peut etre contre un débat et des intervenants, chahuter à la limite mais ne mélangeons pas tout, à l'heure actuelle, l'islam a déjà mauvaise presse n'en rajoutons pas une couche. Il faut que nous meme, musulmans évitons de créer des amalgames de la sorte! Certes ont ne vous a pas invité à parler mais lorsque l'un des intervenants vous a demandé de descendre et de donner vos arguments il aurait fallu le faire au lieu de sortir des insultes. Je ne connais pas vraiment quelle est la position de Caroline Fourest a propos de l'islam et de l'islamisme mais à nous de répondre intelligemment si on veut que notre situation change, préparons des arguments de choc en lisant, en apprenant et évitons de donner les moyens aux autres de nous taxer de terroristes et autres car sur ce point Caroline Fourest à raison, par ce genre de manifestations on donne de quoi nourir l'extremisme...

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#92

2012-02-11 16:58

je trouve inadmissible intellectuellement la condamnation de Monsieur Chichah, par des instances universitaires dites libre-penseurs, sa valeur académique et sa probité intellectuelle ne sont en rien concernés par un incident banal provoqué par une sérial-menteuse !

Pascal

#93 Pas de pitié

2012-02-11 17:02

Non, vous ne passerez pas. Vous et vos idées rétrogrades issues d'un islam figé depuis 1000 ans dans une attitude beliqueuse et invasive. Non, vous qui pensiez soumettre l'europe par vos mensonges et votre hypocrisie avez juste réussi à réveiller le dragon européen. Celui la même qui vous a botté le cul et renvoyé dans vos pays. L'occident est une nation démocratique et vos pensées rétrogrades n'y ont pas leur place. Repartez, retournez d'où vous venez. Ou vous y retournerez dans un océan de feu et de sang. A croire que vous aimez cela. Ne seront les bienvenus chez nous que ceux d'entre vous qui désireront évoluer dans l'esprit démocratique d'un état de droit.
A bon entendeur...

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#94

2012-02-11 17:20

ou est passé la liberté d'expression ,dans un état de droit ?on devrait poursuivre aussi tous les personnes d'extréme droite qui s'exprime ,eux librement et sans souci.vive le droit d'expression,meme s'ils en déplaisent à certains.

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#95 Re:

2012-02-11 19:08

#88: -

Envoyé les sur Mtalbi@hotmail.be , je lui transmettrais merci


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#96

2012-02-11 19:40

L'université libre de Bruxelles porte mal son nom. Soutien total avec Souhail Chichah

Anonyme

#97

2012-02-11 19:40

BURQUA BLABLA

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#98

2012-02-11 21:29

NON A L'ISLAMOPHOBE

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#99

2012-02-11 21:30

Nous les musulman on reste soudé !

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#100

2012-02-11 21:36

Même si je ne vois pas le but de ses cris au lieu d'essayer de créer un débat je suis contre le détournement, l'interprétation qu'on a faite de cette intervention...