#63: -  Ca n'a jamais été une banalité.

"Ca n'a jamais été une banalité." ??? Ah oui ??? Pouvez vous nous citer le nom des 52 soldats qui sont morts au champ d'honneur ? Moi pas car les médias n'en parlent jamais, et j'ai appris la triste nouvelle parce que ce soir là, j'étais, pour une fois, devant mon poste de télévision, les quelques secondes où ils ont diffusé sa photo en disant bêtement qu'un militaire, le 52ème, venait de mourir en Afghanistan... La voilà, la banalité : se fixer sur un numéro, après tout, c'est vrai, il n'y a eu QUE 52 morts en 4 ou 5 ans, donc ce n'est pas important ! Et bien si justement c'est important, parce que 52 soldats tués, c'est toujours 52 de trop !!!

"Ca n'a jamais été une banalité." ??? Quel respect avez-vous envers les familles de ces victimes pour oser dire une bêtise pareille ? C'est sûr que pour les journalistes, il vaut mieux faire une édition spéciale pour parler de la neige en hiver, ou des guirlandes de Noël accrochées à l'Elysée ou à Matignon en plein mois de décembre que de déplorer la perte d'un soldat d'Etat. 10 secondes ... 10 secondes à peine pour parler de son décès, alors que, dans la même édition, on nous a montré les superbes images des illuminations de Noël de je ne sais plus quelle ville pendant TOUT le générique !!!!!!!! Et ce n'est pas une banalité ????

Honte à tous ceux qui ne signeront pas cette pétition, ils ne méritent pas que nos soldats les protégent autant. Et un énorme merci et une infinie reconnaissance envers notre armée pour tout ce qu'ils font.

#73: Magali MOUGENOT - Re:  

 je 'ai pas envoyé ces militaires de carriére se faire tuer,par contre je paye les impots qui les fair vivre grassement,les militaires ne produisent aucune richesse !!!!!!et je ne signerai pas cette petition,ce serait signer pour les marchands de canons et les politicards !!!!lmais je respecte la douleur des familles !!!

#73: Magali MOUGENOT - Re:  

 allez sur le site de Marianne2 il y a le blog de MERCHETqui lui donne les 52 morts pour nous tout petit citoyen qui ne regarde que le fond de son nombril