Soutien à la liberté d'expression et au pluralisme de l'information

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MANAGER

#550 Re: Re:

2015-06-16 16:56

#548: - Re:  

Ca peut fanfaronner avec des ventes tombées de 40.000 à un peu plus de 20.000 en quelques années et des recettes publicitaires ont fondu. Sans compter ce qui arrive...

Ite missa est!

Réponses


Anonyme

#551 Re: Re: Re:

2015-06-17 22:15:57

#550: MANAGER - Re: Re:  

lu sur le web : le quotidien Corse-Matin épargné par le redressement judiciaire du groupe Nice-Matin est cédé en 2013 à Bernard Tapie actionnaire unique de La Provence. Une clause de cession aurait dû être ouverte, permettant aux journalistes de partir avec les indemnités applicables en cas de licenciement.. Cette clause de cession n'a pas été ouverte. Les employés ont accusés le coup une première fois. Roger Antech le directeur délégué de Corse Presse et rédacteur en chef de Corse-Matin depuis 2009 est devenu PDG au moment du rachat du titre. Les décisions prises Roger Antech ont rapidement été critiqués par ses collaborateurs. De nombreux salariés du groupe accusent Roger Antech de népotisme, de favoritisme, et d'autoritarisme, mais sa décision la plus critiquée fut de limoger Jacques Renucci le directeur de la Corse votre Hebdo, journaliste apprécié mais également cadre historique du quotidien. Roger Antech se plaça lui-même à la tête de la publication, ce qui fut très contesté au sein de la rédaction. Une pétition a été ouverte par l'Institut Citoyen du Cinéma [[1]] qui a rapidement recueilli plusieurs milliers de signataires. Dans un article paru dans les Inrocks [[2]] Roger Antech se défend de tels procédés et annonce qu’une plainte contre X a été déposée par Corse Presse pour injures publiques et diffamation. Si l'Institut Citoyen du Cinéma est visé par cette plainte à cause de la pétition, le personnel de Corse-Matin qui déballe les affaires et les coulisses du journal est largement visé. Ce dernier n'hésite pas - sous couvert d'anonymat - à dévoiler les conflits internes et leurs conséquences sur les vente et l'avenir du groupe. Suite à cette plainte l'Institut Citoyen du Cinéma met en place une seconde pétition [[3]] et envisage de se pourvoir en justice. [[4]]