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 On reste sur notre faim, c'est la peur de mettre à nue la vérité des nouvelles mesures d'exploitations issuent de choix ubuesques d'esprits éclairés, en exemple; couper du bois pour produire des plaquettes et agrocarburants par des prélèvements destructeurs qui ouvrent la voie à l'assèchement des jeunes peuplements et une destructions des sols forestiers par des engins de plus en plus gros, là ou l'on a créer des industries uniquement pour rentabiliser la filière bois, dont l'état ne vois probablement pas un euros et aide à une polution active, ruine les sols forestiers fragiles de surcroît en vidant la biomasse active nécéssaire à l'existance même de la forêt. La sylviculture, c'est l'art de la jardiner pour péréniser ces fûtaies qui font le bonheur de toute la création et tiré profit à bon escient de ses produits, voilà cqfd...