juste une réflection : si on devait enlevé de notre chère habitation tout matériaux venant direct ou indirect d'une carrière(briques,fenêtres,sous-fondation et fondation,béton,stabilisé, tuiles,entrée en pavés ou graviers,...) il ne resterait QUE les bois. On peut aussi opté pour l'importation de ces matériaux si on est d'accord y payer le prix !!" Oui aux carrières, tant qu elles ne se trouvent pas dans mon jardin" est un peu petit ...

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Des carrières il y en a assez dans la région la réouverture de celle-ci est complètement absurde,le site est désigné site à grand interet biologique;arretons le massacre!

#10: - juste une réflection : si on devait enlevé de notre chère habitation tout matériaux venant direct ou indirect d'une carrière(briques,fenêtres,sous-fondation et fondation,béton,stabilisé, tuiles,entrée en pavés ou graviers,...) il ne resterait QUE les bois. On peut aussi opté pour l'importation de ces matériaux si on est d'accord y payer le prix !!" Oui aux carrières, tant qu elles ne se trouvent pas dans mon jardin" est un peu petit ...

Effectivement, vous soulevez là une question intéressante. Cependant, une maison en bois et torchis; c'est faisable, réaliste, et écoresponsable. Et puis on ne manque pas de carrières (y'en a déjà quelques unes rien que le long de la ligne Gouvy-Liège).

De plus, la partie encore exploitable de la carrière ne paraît pas très grande. Bien que je ne connaisse pas grand chose aux carrières et mines, je constate que celle-ci est entourée d'un lac de pêche, d'une route, et que le flanc restant ne produira plus grand chose comme pierre. Ce serait reprendre une exploitation très nuisible aux riverains et à l'écosystème précieux qui s'y est installé, pour grapiller un peu de pierre pendant quelques mois seulement.Les nombreux plongeurs qui utilisent le lac artificiel créé par la carrière sont aussi une source de revenus touristiques pour la région; les plongeurs venant de loin font même vivre les gîtes et auberges locaux. La route avoisinante, déjà bien chargée, ne supportera pas le flux de camions supplémentaires généré par la réouverture de la carrière tant pour le traffic que pour les dégât infligés par ces lourds camions à la route, et un raccordement par le rail est impossible sans grands investissements. Enfin, à quelques dizaines de mètres de la carrière se situe le turbojet Electrabel de Cierreux, une petite centrale électrique sensée fournir de l'électricité lors de pics de consommation ou  de défaillances d'autres centrales. Une réactivation sismique locale par les excavations minières pourrait rendre cette installation dangereuse: dommage aux installations, fuites de pétrole lampant, ...

Et puis, depuis que la carrière a cessé d'être exploitée, des habitations se sont développées tout autour, changeant la donne du tissu socio-économique local.

[EDIT: orthographe + dernier paragraphe]

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