NON AU BLOCAGE DES ROUTES

Quand l'état démissionne, c'est aux citoyens de s'organiser autrement pour faire valoir ses droits et se défendre. Quand une minorité entrave la liberté d'une majorité, c'est un délit, une privation de droit contraire à toutes les lois, aux droits de l'homme, aux droits fondamentaux. ça s'assimile à la dictature. La dictature de la minorité, du plus gros gueulard. C'est scandaleux, primaire, ça nous ramène des millénaires en arrière, une sorte de loi loi de la jungle. Nous n'avons pas mérité ça, nous valons plus que ça, nous devons nous défendre. Je ne suis pas un être primaire soumis à la loi du plus gros, du plus con, du plus fort en gueule, de l'hormone mâle. Je suis un être civilisé, qui raisonne. Je tiens à mes droits, à ma liberté, que des générations durant des siècles ont désirée, et pour laquelle ils se sont battus. Priver de liberté (de se déplacer, de penser, de travailler, de faire vivre sa famille ...) une majorité, sous prétexte de beaux sentiments, de cause certainement juste mais qui ne concerne qu'une minorité, est inacceptable, scandaleux. Puisque cette minorité ne veut pas comprendre, il faut reprendre la lutte. Et nous combattrons.