Non à la taxe kilométrique-Neen aan de kilometerheffing-

Pour un Belge sur cinq,Pour 63 % d’entre eux, le grand rendez-vous électoral de 2014 –
on votera en même temps au fédéral, dans les régions et, accessoirement, pour l’Europe - accouchera d’une nouvelle crise politique. Et quatre Belges sur dix pensent même que l’on ira vers une nouvelle réforme de l’Etat au sortir de ces multiples scrutins. Cette conviction est plus ancrée chez les francophones (55 %) qu’en Flandre (31 %).

On ne s’étonnera donc pas de cette autre information : 59 % des sondés pensent que l’échéance électorale de juin 2014 ne permettra pas le retour de la stabilité au sommet de l’Etat. Et si plus de la moitié des Belges ne croient pas à la fin du pays à cette échéance, ils sont cette 20 % à penser le contraire. Un citoyen sur cinq, en effet, estime que les prochaines élections fédérales et régionales déboucheront sur la fin de la Belgique.
Si l’on en croit les 2.307 Belges sondés par Ipsos pour le Grand baromètre Le Soir/RTL, les élections de 2014 n’apporteront rien de bon.
Pour 63 % d’entre eux, le grand rendez-vous électoral de 2014 – on votera en même temps au fédéral, dans les régions et, accessoirement, pour l’Europe - accouchera d’une nouvelle crise politique. Et quatre Belges sur dix pensent même que l’on ira vers une nouvelle réforme de l’Etat au sortir de ces multiples scrutins. Cette conviction est plus ancrée chez les francophones (55 %) qu’en Flandre (31 %).