SOUTIEN A JACQUES RISSO


Anonyme

/ #468 Re: Re: Du bon usage de ces commentaires...

2014-01-18 13:21

#463: - Re: Du bon usage de ces commentaires...

Beaucoup d'approximations, d'erreurs et de mélanges dans ce commentaire...

- Ici, ce n'est pas "un site uniquement réservé à la défense...", c'est une pétition en ligne destinée à soutenir un collègue injustement accusé. Que l'on puisse y laisser des commentaires ne change rien à ce fait, qui explique que la plupart des commentaires reflètent les avis des signataires. Libre à chacun, comme tout citoyen, d'avoir et faire savoir des avis contraires sur la question...

- Et c'est bien là où le petit laïus sur la censure, le pseudo appel à la démocratie me hérisse un tantinet le poil. Tout forum, tout espace de commentaire oblige à modérer certains propos. Et pour ce qui est de la démocratie, elle repose sur le respect des droits, droits qui ont été bien malmenés à l'encontre de Jacques.

- Qui plus est, il est bien malvenu de citer mon commentaire n° 463 en omettant, et le fait que j'ai supprimé certains commentaires favorables à Jacques, et la distinction que je faisais entre le prétexte (le "possible harcèlement" évoqué par la hiérarchie) et le fond de l'affaire, une sanction immérité et donc injuste. Faudrait apprendre à lire, il y a des écoles publiques pour cela...

- Là où je parle de « cette histoire de harcèlement », c’est en tant, justement, de directeur d’école. Ben oui, depuis une trentaine d’années,  j’exerce  ce boulot dans des quartiers officiellement « difficiles ». Le harcèlement existe, je ne le nie pas, il faut le combattre, je suis d’accord,  mais cela ne justifie en rien tout ce dont Jacques est victime depuis plus de 4 mois… Ou alors, il faut immédiatement suspendre de leurs fonctions les 48 000 directrices et directeurs de ce doux pays, qui, toutes et tous, comme moi, ont entendu en récré « Maître, y fait rien qu’à m’embêter.. » et qui, toutes et tous, devraient, donc, se voir suspendus comme Jacques...

- Donc, que cela te plaise ou non, (dit-il, en passant à un tutoiement abusif), on restera ici sur le fond de l’affaire, qui consiste à poser quelques simples questions auxquelles personne (Inspecteur, Dasen, Recteur, Inspecteurs Généraux, Ministre…) n’a pu pour l’instant apporter réponse :

1/ Où est la moindre plainte déposée contre Jacques ? Il n’y en a pas…

2/ Où est le plus petit fait avéré à son encontre ? Il n’y en a pas…

3/ Où se situe le plus minuscule élément que l’on puisse lui reprocher ? Il n’y en a pas…

Et je signe (ce que tu ne fais pas…),

Thierry Fabre