Contre les nuisances aériennes dans le Parc Naturel Régional du Luberon
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Le Parcs Naturels Régionaux en France fêtent leur 50 ans
2017-03-01 15:49:57Collectif Contre les nuisances aériennes dans le Parc Naturel Régional du Luberon
Compte-rendu de l' ADECNA Sud-Luberon de la réunion du 29 février 2016
2016-03-31 10:44:15
Madame Hélène GERONIMI, sous-Préfète d’Apt, a prévu d’organiser dans les prochaines semaines une nouvelle réunion de concertation relative au dossier des nuisances aériennes dans le Parc Naturel Régional du Luberon (PNRL) et tout particulièrement dans le Sud-Luberon.
L’ADECNA Sud-Luberon a proposé à la Direction du PNRL et à l’ensemble des élus du Sud-Luberon signataires de la pétition citoyenne - Maires, Conseillers départementaux, Conseillers régionaux et Députés – une réunion d’échanges et de préparation qui s’est tenue le lundi 29 février 2016 à Villelaure.
Etaient présents Monsieur Sébastien MICHEL, attaché parlementaire de Monsieur Jean-Claude BOUCHET, Député de Vaucluse, Monsieur Stéphane SAUVAGEON, Conseiller régional et Adjoint au Maire de Pertuis, Madame Noëlle TRINQUIER, Conseillère départementale, Monsieur Jacques DECUIGNIERES, Maire de La Bastidonne, Madame Joëlle RICHAUD, Maire de Saint-Martin de la Brasque, Monsieur Jean-Louis ROBERT, Maire de Villelaure, Monsieur Serge MARTY, Directeur du PNRL ainsi que, pour l’ADECNA Sud-Luberon, Messieurs Vincent ORIGLIA, Président, Monsieur André CORBINEAU, Vice-Président et Philippe EPREMIAN, Secrétaire général.
En préambule, Monsieur ORIGLIA a rappelé les principes juridiques ayant conduit à la création des Parcs naturels régionaux en France puis plus précisément à celui du PNRL :
Ainsi il a lu un extrait du 1er article du décret du 1er mars 1967 qui stipule que « un territoire (…) peut être classé en Parc naturel régional lorsqu’il présente un intérêt particulier pour la qualité de son patrimoine naturel et culturel, pour la détente, le repos des hommes et le tourisme ». A contrario, un parc peut être déclassé si son aménagement ou son fonctionnement ne correspondent plus à la Charte et/ou aux critères qui ont justifié son classement.
La charte fondatrice du PNRL de 1977 a affirmé la volonté des communes de faire de ce territoire un espace d'excellence en matière de qualité sonore et de repos acoustique. Celle de 2009 indique que la poursuite, difficile mais réussie, de cet objectif depuis la création du Parc, a fait de la qualité sonore en Luberon un atout, un facteur de croissance, un critère de différenciation à l'origine de nombreux choix pour venir y résider et y développer des activités économiques, particulièrement celles liées à l'accueil et au tourisme.
Elle précise de plus que cette orientation est irréversible et que toute atteinte à cet équilibre équivaudrait, quelle qu’en soit l'origine, à une rupture du contrat entre l'Etat qui a instauré les Parcs naturels régionaux comme lieux où la qualité de la vie, le repos et la détente constituent des facteurs de développement et les adhérents au Parc qui ont orienté le développement économique et social de ce territoire en veillant à la compatibilité de leurs choix avec les objectifs de sa Charte.
La responsabilité de la mise en œuvre et du respect des objectifs de la Charte repose donc clairement tout autant sur l’Etat que sur les communes/syndicats de communes adhérents.
Les participants ont conclu à l’unanimité qu’au regard de ces grands principes, les nuisances aériennes civiles et militaires subies sur le territoire du PNRL sont incohérentes et incompatibles avec les objectifs de la Charte.
Suite à cela, Monsieur ORIGLIA a voulu préciser que le mouvement fédéré autour de la pétition contre les nuisances aériennes dans le PNRL et concrétisé par l'ADECNA Sud-Luberon a été créé avec l'objectif de donner aux élus, institutions et hommes politiques la possibilité de se valoir de cette force de protestation citoyenne pour faire cesser ces nuisances dans le PNRL et par la même de donner au Gouvernement l'opportunité de légiférer pour mieux protéger cet espace exceptionnel.
Il a rappelé la nature des nuisances subies depuis désormais plus de trois ans et a présenté un état des lieux des plaintes pour chacune des communes selon les retours obtenus par les Maires d’une part et selon les plaintes enregistrées sur le guichet unique stopavions@adecna-sl.fr d’autre part.
Les nuisances sonores touchent tout le Sud Luberon. Et le nord ne semble pas non plus épargné. En prenant l'exemple d'un appel reçu d’un habitant de Viens que Monsieur ORIGLIA avait du mal à entendre au téléphone tellement le bruit des avions en exercice était excessif (avions de chasse dans ce cas précis).
Certaines communes restent à ce jour le point noir de la protestation : Pertuis, Ansouis, Villelaure, mais aussi le Puy Sainte Réparade, Grambois, Sannes et Cucuron.
« Pas de protestation » dans les autres communes ne signifie pas « pas de nuisances ». Et « pas de nuisance ressentie » ne signifie non plus « pas de bruit » et donc pas de répercussion sur les objectifs de la Charte du PNRL … En prenant les exemples de La Bastidonne, La Tour d’Aigues et de Saint-Martin de la Brasque : Différents témoignages signalent une forte nuisance sur ces villages. Pour autant, depuis janvier l’association ne reçoit pas de plaintes écrites.
Monsieur DECUIGNIERES confirme bien les dires de Monsieur ORIGLIA. Et Madame RICHAUD de rajouter « ils viennent tous se plaindre à la Mairie ! ».
Elle précise, en se faisant la porte-parole des certains autres maires de COTELUB que, pour autant, il ne faut pas être paranoïaque. Nous sommes en guerre nous avons besoin de former des pilotes.
Monsieur ORIGLIA remercie Madame RICHAUD d'avoir posé sur la table et dans ces termes cet épineux problème et apporte sa réponse : la paranoïa ne vient pas de l'ADECNA Sud-Luberon qui a toujours eu un discours clair et pragmatique et qui n’a jamais demandé ni la fermeture de l’École de pilotage de Salon de Provence, ni l’arrêt de la formation des pilotes militaires français.
Ces positions seraient d’ailleurs absurdes : les militaires ont besoin de s'exercer et pour ce faire, ils ont des zones plus grandes, plus nombreuses en dehors du Parc. Mais le rapport de force voire l’absence de protestation ont, entre autres facteurs, probablement joué en défaveur du Sud-Luberon. Donc aujourd’hui, il existe des zones militaires en dehors du Parc sous-utilisées, et dans certaines ils étaient déjà ...
Vouloir garder les entraînements dans le Parc c'est vouloir limiter le travail de l’École et mettre en danger leur travail : le classement même du Luberon en Parc Naturel Régional, réserve de biosphère reconnue par l’Unesco, apportent des contraintes sur l’organisation des entrainements de moins en moins conciliables avec les objectifs de la Charte du PNRL.
Et parallèlement les nuisances apportées par ces entrainements militaires augmentent le risque de déclassement du Parc. Monsieur MARTY confirme le risque potentiel à l’approche des bilans et études qui vont être menés pour le renouvellement du label réserve de biosphère en 2019 et de la Charte en 2021.
Monsieur ORIGLIA a rappelé que, suite à l’entretien du 30 septembre 2015 de Madame TRINQUIER avec le Cabinet du Ministère de l’Ecologie, en présence de Monsieur ROBERT et de lui-même, l’ADECNA Sud-Luberon a envoyé un communiqué et le dossier complet par courrier postal à tous les Sénateurs, Députés, Conseillers départementaux et Maires signataires de la pétition. Madame TRINQUIER a précisé avoir relancé le Cabinet du Ministère pour obtenir les réponses attendues.
Ce dossier comprend notamment les 6 demandes officielles « pour retrouver le calme » dans le Luberon et la carte des propositions de déplacement des zones d’exercices militaires dans leurs Zones militaires en dehors du Parc. Propositions qui, rappelons-le, ont été établies avec des experts, l’ADECNA Sud-Luberon n’a rien inventé.
Sur la base de ce dossier qu’il a jugé « pragmatique » et « raisonnable », le Sénateur Claude Haut, membre de la Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat, est intervenu auprès des Ministres Jean-Yves LE DRIAN et Ségolène ROYAL.
Et d'autres personnalités politiques ont tout autant défendu ce même dossier auprès du gouvernement : C'est le cas du Sénateur Alain DUFFAUT auprès de Ségolène ROYAL, de l'euro-Députée Michèle RIVASI auprès des deux Ministres, du Président du Conseil départemental de Vaucluse Maurice CHABERT auprès de Ségolène ROYAL et du Député Christophe CASTANER auprès de Ségolène ROYAL et même du Premier Ministre, Manuel VALLS. Preuve, si besoin en est pour certains, que la démarche engagée et suivie par l’ADECNA Sud-Luberon est tout sauf sectaire et anti-républicaine.
Par ailleurs, l’ADECNA Sud-Luberon n’a jamais non plus demandé l’arrêt des survols par les aéronefs civils. Notre demande porte d’une part sur l’adoption d’une altitude minimale applicable sur le territoire du PNRL et d’autre part, sur l’équipement de ces aéronefs avec des systèmes de silencieux - demande soutenue par un projet de loi déposé par Monsieur Jean-Claude BOUCHET.
Pour ce qui concerne l’axe de voltige civile du Pont de Pertuis qui empiète pour moitié sur le territoire du PNRL, le dernier courrier envoyé à la Ministre de l’Écologie cosigné par Monsieur Julien AUBERT, Député de Vaucluse et Vice-Président du Conseil régional et Monsieur Jean-Claude BOUCHET a donné l’opportunité à l'ADECNA Sud-Luberon de déposer auprès de la DGAC une saisine visant à obtenir sa suppression et la mise à jour en conséquence des cartes aéronautiques officielles.
Il faut savoir ce qu'on veut. La charte du Parc et son classement interdisent certaines activités aéronautiques, sources de nuisances sonores. Comme, par exemple, les fortes nuisances dues aux baptêmes de l'air en hélicoptère que presque tout le Sud-Luberon a subi l’été dernier. C'est aux Maires d’agir pour cela. Madame Hélène GERONIMI, sous-Préfète d’Apt a été claire sur ce point.
Par ailleurs, l’ADECNA Sud-Luberon alerte sur l’insertion publicitaire éditée dans le magazine de l'office de tourisme de Pertuis, visant la promotion d’une société proposant des activités de loisir individuel de survols, en avion ou en ULM, « à la carte » des villages du Luberon voire même de sa propre maison … Le plaisir d’une personne versus la souffrance de plusieurs milliers d’autres ? Nous marchons sur la tête !
Monsieur ORIGLIA signale qu’aux dires du gérant de cette Société avec lequel il a échangé, une insertion similaire aurait été également réalisée en lien avec l’office du tourisme de COTELUB.
L’association a reçu plusieurs plaintes des gîtes et hébergeurs qu’elle a transférées à Madame la sous-Préfète ainsi qu’aux Députés et Conseillers départementaux. En effet, ce type d'activité est source de nuisances sonores importantes et préjudiciables à la qualité de vie pour les habitants et les touristes. Quelle justification l’association peut-elle apporter aux hébergeurs et gîtes ? Aucune, si les agents promoteurs du tourisme souhaitent favoriser le développement de ce type d’activité dans le PNRL.
La position de l’ADECNA Sud-Luberon est sans équivoque : elle ne défendra jamais un tourisme générateur de « nuisances » pour le Parc, sa Charte, la population et les professionnels de l'accueil et du tourisme de détente et de repos.
Monsieur ORIGLIA a posé alors clairement la question aux participants de la réunion : Les nuisances sonores générées par ce type d'activité touristique sont-elles compatibles ou non avec les objectifs du Parc, de sa Charte et avec un tourisme de détente et de repos ? La réponse unanime est « non ».
Madame RICHAUD et Messieurs DECUIGNIERES et ROBERT ont annoncé vouloir mettre ce point à l'ordre du jour d’une prochaine réunion de COTELUB et d'en parler lors de la réunion de la Commission tourisme prévue le jeudi 3 mars.
Monsieur Sauvageon souhaite pour sa part organiser rapidement un RDV avec Monsieur Christian ESTROSI, Président du Conseil régional, Madame Jacqueline BOUYAC, Conseillère régionale déléguée aux Parcs Naturels Régionaux, le prochain Président du PNRL (élection prévue le jeudi 10 mars) et les représentants de l’ADECNA Sud-Luberon.
Malgré la mobilisation de la population et les actions menées par un certain nombre d’élus, le bilan concret sur le terrain reste toutefois très mitigé. Les élus présents et le Directeur du PNRL ont exprimé à l'unanimité l’avis que, désormais, il fallait mener une action médiatique forte regroupant tous les élus et la population pour exprimer leur mécontentement et leur inquiétude face à la situation déjà lourde … et qui pourrait empirer avec les risques d’accroissement de l’activité aéronautique en PACA (développement commercial de l’aérodrome d’Aix les Milles), l'arrivée dans le Parc des nouvelles nuisances sonores générées par les drones militaires et le transfert total de l'activité de formation initiale des pilotes de Cognac vers Salon de Provence.
Monsieur MICHEL a indiqué que ce type d'actions de la part des élus du terrain est le moyen de favoriser également la prise de conscience du problème et de faciliter le soutien des Députés au projet de loi.
L'ADECNA Sud-Luberon a bien évidemment confirmé qu’elle soutiendra, par tous les moyens à sa disposition, cette action médiatique organisée avec force par les élus.
ADECNA Sud-Luberon
Association de Défense contre les Nuisances Aériennes dans le Sud-Luberon
Hôtel de Ville - Place du Général de Gaulle – 84 530 VILLELAURE
Tél. / Rép. / Fax : 09 72 30 50 91 - Email- info@adecna-sl.fr Site internet www.adecna-sl.fr
Contre les nuisances aeriennes dans le Parc Naturel Régional du Luberon
Communique de l'ADECNA Sud-Luberon du 19 Mars 2016
2016-03-19 08:42:05Courant 2014, Monsieur Jean-Louis JOSEPH, ancien Président du Parc Naturel Régional du Luberon (PNRL), a indiqué publiquement avoir été contacté par le célèbre Guide du Routard suite aux plaintes et remontées négatives de la part de touristes forts mécontents des nuisances sonores dues aux survols incessants dont ils avaient souffert durant leur séjour dans le Parc du Luberon.
Le Guide du Routard avait prévenu que si la situation ne s’améliorait pas, il se verrait dans l’obligation de l’indiquer dans son guide, par respect pour ses clients (difficile en effet de vanter, année après année, les atouts d’un Parc Naturel Régional en « omettant » d’indiquer les nuisances qui y sévissent sans risquer une plainte pour publicité mensongère – ndlr).
La mise en garde s’est malheureusement concrétisée fin janvier avec la nouvelle édition 2016 (papier) du Guide du Routard de la Provence … Publication fracassante d’un encart d’alerte dans les pages relatives au Luberon donnant, sans aucune ambiguïté, un carton rouge aux Militaires et à l’État, pourtant censé mettre tous les moyens pour protéger ce territoire d’excellence en matière de qualité sonore et de repos acoustique par la mise en application de la Charte fondatrice de 1977 puis celle actuelle, 2009 - 2021, du PNRL.
Il faut dire que, malgré les réunions de concertation menées depuis près de deux ans par la Direction du Parc puis par la sous-Préfecture d’Apt, malgré des courriers d’élus adressés à Jean Yves LE DRIAN, Ministre de la Défense, malgré les pétitions et plaintes des habitants et touristes, le PNRL reste la victime des aéronefs militaires en tout genre, démunie de toute règlementation protectrice malgré sa classification en Parc Naturel Régional.
Quelques efforts évidents faits en 2015 par les Militaires pour aménager les nuisances auraient dû calmer la grogne des élus, de la population et des touristes. Mais hélas, la perception des nuisances perdurent sur l’ensemble du territoire du PNRL et la population est exaspérée.
La « Grande Muette » avançant de nombreuses « excuses » pour s'attarder dans le plus peuplé des parcs naturels régionaux de France, qui fait référence pour ses zones dites « Nature et Silence » et 2nde réserve de biosphère de France reconnue par l’UNESCO. Alors qu’il existe d'autres zones militaires disponibles en dehors du PNRL …
Et voilà le cinglant verdict des touristes !
Au travers du Guide du Routard, ce sont donc des milliers de touristes qui taillent un costard sur mesure à l’une des principales causes de leur séjour raté par manque de calme et donc de repos et de détente. Et ils nous disent dans le même temps qu’ils ne veulent pas d'un PNRL bruyant !
Comment donc interpréter cette envolée contre l'armée de l'Air ?
Il faut croire que les touristes, venant visiter le Parc du Luberon sont extrêmement exigeants au regard des promesses de silence, de quiétude et de repos au sein d’un espace naturel protégé qui leur ont été faites. Alors que ceux qui causent ces nuisances, ceux qui font l’autruche face au problème et ceux qui simplement le nient, oublient tout bonnement que la principale source d'attrait touristique provient de la classification du Luberon en Parc Naturel Régional.
Les touristes sont des clients qui payent (parfois cher) pour venir s’y reposer et profiter de ses atouts culturels, patrimoniaux et environnementaux. Ils veulent tout simplement en avoir pour leur argent, sans tromperie.
Un client mécontent parle à 10 personnes, un client en colère …. gare aux dégâts !
Le guide touristique pose, à son tour, en écho aux interrogations toujours sans réponse des habitants et des touristes, des questions pertinentes : Comment faisaient-ils avant ? Comment « quelques gradés avec tant d’arrogance » peuvent-ils ignorer cette zone protégée (par l’État !) ?
Cet encart dans le Guide du Routard donne un coup de massue à la population et aux acteurs économiques du PNRL : il montre bien qu'en terme d’attractivité touristique et donc de développement et de retombées économiques, les nuisances sonores aériennes sont un véritable fléau dans un département déjà sinistré par le chômage. Et c’est sans parler des investissements publics (européens et nationaux) et privés faits depuis 40 ans, en pure perte !
Cette facture émise par cet expert du tourisme, dont la renommée avec ses millions de lecteurs français et étrangers n’est plus à démontrer, doit être l'occasion, pour nos responsables politiques de résoudre rapidement et définitivement cette incohérence et cette incompatibilité entre un Parc Naturel Régional et les nuisances aériennes. Faire la sourde oreille serait totalement suicidaire pour le Parc du Luberon. Il y a désormais le feu à la maison et il ne risque pas s’éteindre tout seul….
Les nuisances aériennes n’ont tout simplement pas leur place dans le PNRL.
Il appartient donc à l’État d’établir, enfin, le cadre réglementaire adéquat pour appliquer les objectifs de la Charte et veiller à son respect dans notre région où l'activité aéronautique est l’une des plus intenses en France.
L'ADECNA Sud-Luberon attend donc des actions fortes et sans ambiguïté de la part de tous les élus qui ont signé la Charte du PNRL et qui ont réaffirmé leur l'attachement à la classification du Luberon en Parc Naturel Régional en décembre 2013. L'association continuera à soutenir et à promouvoir un cadre de vie et un tourisme conformes à la classification de Parc Naturel Régional.
Si « on » voulait faire perdre au Luberon sa classification de Parc Naturel Régional et de Réserve de Biosphère reconnue par l'UNESCO, « on » ne s’y prendrait pas différemment … à qui cela profiterait-il donc ?
Enfin, alors que ses services d’enquête n’ont jamais échangé avec l’association sur ce problème, le Guide du Routard, expert mondial du tourisme, cite l’association et en communique les coordonnées : Quelle belle reconnaissance de nous désigner ainsi comme seul interlocuteur de référence pour les touristes en quête « d’informations fiables » pour organiser leurs vacances … N'en déplaise à certains !
Et bien nous apprécions et remercions chaleureusement le Guide du Routard.
ADECNA SUD LUBERON
Association de Defense contre les Nuisances Aeriennes Sud Luberon
HOTEL DE VILLE
Place du Gl de Gaulle
84530 VILLELAURE
Tel/rep :09 72 30 50 91
Contre les nuisances aeriennes dans le Parc Naturel Régional du Luberon
Nuisances aériennes dans le Parc du Luberon : TROP C'EST TROP !
2015-12-10 18:18:03le Député de Vaucluse, Monsieur Jean-Claude BOUCHET, a déposé, il y a quelques jours, un projet de loi
Lorsque les mauvaises habitudes de quelques individualistes passionnés d'aviation nuisent à l'ensemble de la population ... la population demande à réglementer.
Nous voila entrés dans la 4ème année consécutive des nuisances aériennes dans le Parc du Luberon. Pourtant, le Parc affiche ses labels, plus beaux et plus pompeux les uns que les autres : Réserve de Biosphère reconnue par l'UNESCO, Zones Nature et Silence, Zones Natura 2000, et le dernier en date Le GEOPARC MONDIAL de l'UNESCO ...
C'est bien beau tout cela. Et la population se félicite des nouvelles contraintes et probablement impôts directs ou indirects qui lui tomberont sur la tête.
Mais revenons à la réalité sur le terrain, de ce qui constituent un enfer quotidien. Car, sur la carte postale du Parc du Luberon, il est heureusement impossible de mettre le son, enfin plutôt le bruit des centaines d'avions, hélicoptères, ULM... (dommage que ni les voitures, ni les scooters, et encore moins les camions ne volent aussi ... ) qui ont remplacé le chant des cigales, emblème de la Provence.
Voila pourquoi pour notre Parc "Nature et Silence" en plus d’être la 2ème Réserve de Biosphère de France métropolitaine et maintenant 5ème Geopark Mondial, les deux labels décernés par l'UNESCO, parmi les 6 demandes officielles de l'Adecna Sud-Luberon la plus emblématique est sûrement celle de l'obligation pour les avions survolant le Parc du Luberon d'être équipé d'un silencieux.
Dans cet objectif, le Député de Vaucluse, Monsieur Jean-Claude BOUCHET, a déposé, il y a quelques jours, un projet de loi ouvrant la possibilité d'obtenir des arrêtés réglementaires imposant un silencieux pour les avions survolant les Parcs régionaux. Equipement financé, rappelons le, à 80% par la DGAC (Direction Générale de l'Aviation Civile).
Ce projet de loi est une première étape pour faire revenir le calme dans ce qu'aujourd'hui la population et les touristes s'accordent à appeler PARC AUX AVIONS. (voir les sources des nuisances recensées par L'ADECNA Sud-Luberon et toujours présentes dans le Parc).
Les débats pour cette loi, que l'ADECNA Sud-Luberon suivra attentivement permettra, nous l'espérons, de poser une première brique visant à combler le vide législatif. Et commencer ainsi à obtenir une véritable protection réglementaire de la population et de son environnement contre les nuisances sonores aériennes, et de rendre obligatoire quelque chose qui est indispensable au bien être et au développement de l'emploi touristique non délocalisable dans le Parc du Luberon (qui brille malheureusement de son taux du chômage parmi les plus élevé de France). Alors que pourtant tout le monde s'accorde à dire que les touristes et les habitants y viennent pour y trouver le calme et la détente, loin des aéroports ...
La voltige civile est interdite dans le Parc du Luberon mais...
Depuis la réponse de Madame Ségolène ROYAL, Ministre de l’Écologie, du développement durable et de l'énergie à la question écrite de Monsieur Jean Claude BOUCHET, Député de Vaucluse et celle du Secrétaire d’État au Transport, Monsieur Alain VIDALIES, à Monsieur Christophe CASTANER, Député des Alpes de Haute-Provence, les choses ne se sont pas vraiment améliorées.
Certains pilotes n’hésitent même plus à faire de la voltige dans les zones NATURA 2000 du Parc du Luberon. (voir). Ben oui, c'est quoi le problème ? On est bien dans le PARC AUX AVIONS, non ?
Depuis de nombreux mois maintenant et de façon répétée, la population et les touristes envoient, exaspérés, des signalements et des plaintes sur stopavions@adecna-sl.fr . Que nous transférons automatiquement aux autorités et aux députés ainsi qu'à la BGTA (Brigade de Gendarmerie des Transports Aériens) et à la DGAC ... Mais les sanctions tardent à tomber ... et la multiplication des voltiges se fait au rythme inversement proportionnel à la reproduction de l'Aigle de Bonelli et à l'Aigle Royal, espèces protégées et en danger de disparition.
Un courrier co-signé par les Députés de Vaucluse, Monsieur Jean-Claude BOUCHET et Monsieur Julien AUBERT vient donc d’être envoyé à Madame Ségolène ROYAL, Ministre de l’Écologie, du développement durable et de l'énergie, signalant que, malgré l'interdiction, la pratique perdure impunément dans le Parc du Luberon où le plaisir de quelques individus nuisent à l'ensemble de la population.
Parallèlement, Monsieur Maurice CHABERT, Président du Conseil Départemental de Vaucluse a également adressé un courrier à Madame Ségolène Royal.
Plusieurs élus sont déjà mobilisés sur ce dossier par des actions, (voir) ou ont signé la pétition (voir).
Contre les nuisances aeriennes dans le Parc Naturel Régional du Luberon
COMMMUNIQUE de l'ADECNA SL (Association de Défense Contre les Nuisances Aériennes dans le Sud-Luberon)
2015-12-04 11:20:22Nuisances Aériennes :
Quoi de neuf dans le ciel du Luberon depuis le 30 septembre 2015 ?
Les Députés et les Sénateurs de Vaucluse soutiennent les demandes de l'ADECNA Sud-Luberon
Le Député-Maire de Forcalquier, Christophe CASTANER est intervenu auprès de la Ministre de l’Écologie et du développement durable, Ségolène ROYAL, et auprès du Premier Ministre Manuel VALLS |
Le Sénateur Claude HAUT, est intervenu auprès de la Ministre de l’Écologie et du développement durable, Ségolène ROYAL, et auprès du Ministre de la Défense Jean-Yves LE DRIAN |
La Député Européenne Michèle RIVASI est intervenue auprès de la Ministre de l’Écologie et du développement durable, Ségolène ROYAL, et auprès du Ministre de la Défense, Jean-Yves LE DRIAN |
Le Sénateur Alain DUFAULT, est intervenu auprès de la Ministre de l’Écologie et du développement durable, Ségolène ROYAL |
Aidez-nous a sauver la Réserve de Biosphère du Parc du Luberon reconnue par l'UNESCO,
Contre les Nuisances Aériennes dans le Parc Naturel Régional du Luberon
COMMUNIQUE de l’ADECNA Sud-Luberon du 6 octobre 2015
2015-06-16 14:47:19Madame Noëlle TRINQUIER, Conseillère départementale du Canton de Pertuis accompagnée par Monsieur Jean-Louis ROBERT, Maire de Villelaure, et Vincent ORIGLIA, Président de l'ADECNA Sud-Luberon font part des Nuisances Ariennes dans le Parc du Luberon au Cabinet de la Ministre de l’Écologie Ségolène Royal, en charge de la mise en oeuvre de la Charte du Parc le 30 septembre 2015.
Noëlle TRINQUIER, Conseillère départementale du Canton de Pertuis, suite à son courrier relatif au dossier des nuisances aériennes, a obtenu un rendez-vous avec le Cabinet de la Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Energie. Elle a proposé à Jean-François LOVISOLO, Conseiller départemental et Maire de La Tour d’Aigues (excusé car retenu à cette date sur un autre dossier), à Jean-Louis ROBERT, Maire de Villelaure, commune fortement impactée par les nuisances et d’où est né le mouvement citoyen et à Vincent ORIGLIA, Président de l’ADECNA Sud-Luberon, de l’accompagner à Paris ce mercredi 30 septembre 2015. Lors de l’entretien avec le Conseiller de la Ministre, Noëlle TRINQUIER a tout d’abord présenté les grandes lignes du dossier dont les principales sources de nuisances que la population du Sud-Luberon subit quotidiennement depuis plus de 3 ans :
- les exercices d’entraînement de l’école de pilotage de Salon de Provence,
- les survols répétés et souvent à très basse altitude voire de la voltige par des avions civils
- et les survols d’hélicoptères, d’ULM et de paramoteurs.
Elle a souligné l’exaspération de la population, renforcée dans son discours par Jean-Louis ROBERT, fort d’exemples de propos exprimés par ses administrés. Face à ce contexte, elle a insisté sur la nécessité d’obtenir des solutions immédiates et efficaces pour les secteurs les plus impactés en attendant une solution législative globale et pérenne pour l’ensemble du Parc Naturel Régional du Luberon (PNRL).
Elle a cité les propositions faites par l’ADECNA Sud-Luberon qui consistent à encadrer certaines activités aériennes tout en permettant le retour au calme dans le Luberon :
- Aligner l’altitude minimale de survol du PNRL à celle des Parcs nationaux, c’est-à-dire 1.000 m par rapport au niveau du sol et au vu des caractéristiques exceptionnelles du Parc.
- Faire réaliser les exercices d’entraînements militaires de l’école de pilotage de Salon de Provence sur des zones leur appartenant déjà mais à ce jour inutilisées, en dehors du territoire du PNRL. Puisque, malgré tous les efforts faits par le Général de la base aérienne de Salon de Provence pour tenter de réduire les nuisances, la gêne et le mécontentement persistent voire s’amplifient.
- Supprimer l’axe de voltige « Pont de Pertuis » qui empiète pour moitié sur le territoire du PNRL.
Jean Louis ROBERT a également rappelé que des survols civils à très basse altitude voire, dans certains cas, de la voltige aérienne était régulièrement pratiquée dans le Val de Durance, sur des zones protégées Natura 2000 ; Vincent ORIGLIA rajoutant que les survols aériens sur ce secteur pouvait atteindre à l’heure actuelle une fréquence de passage d’un aéronef toutes les 3 minutes : insoutenable pour une population de 70.000 habitants et ses milliers de touristes qui ont fait le choix de profiter du calme. D’où la nécessité d’imposer des silencieux et de la sortie du Parc de tout survol liés à des tests techniques (Airbus) et à des écoles de pilotage privées (baptêmes de l’air par exemple).
Avec des risques liés d’un côté à l’évolution de l’aérodrome d’Aix-Les Milles, qui pourraient mener à une augmentation conséquente du nombre de survols et d’un autre côté l’arrivée des drones, nouveaux types d’aéronefs qui apporteront leur lot de nuisances.
Vincent ORIGLIA a ensuite souligné que le Parc Naturel Régional du Luberon est la 2ème réserve de biosphère en France métropolitaine reconnue par l’UNESCO, avec des zones Natura 2000 et des zones Nature et Silence éparpillées sur tout son territoire. Et avec des dizaines d’arrêtés pour protéger la faune et la flore, mais aucun pour protéger l’être humain !
Alors que Vincent ORIGLIA remettait les 2.000 signatures de la pétition citoyenne et un nombre impressionnant de courriers de mécontentement provenant des habitants, des touristes et des professionnels, Noëlle TRINQUIER a mentionné toutes les actions menées par le Président du PNRL, Jean-Louis JOSEPH et les différents élus locaux, nationaux et européens pour alerter les deux principaux ministères concernés par ce dossier.
Le Cabinet de la Ministre, dont nous saluons la disponibilité et l’écoute, a promis une réponse pour chacun des points évoqués.
L’ADECNA Sud-Luberon tient à remercier chaleureusement Noëlle TRINQUIER d’avoir porté, forte de son engagement et de sa pugnacité, ce dossier au Ministère de l’Ecologie, et d’avoir donné l’opportunité à son Président Vincent ORIGLIA de transmettre directement les doléances de la population et les propositions de l’association pour résoudre définitivement ce problème qui n’a que trop duré.
Nous remercions également Jean Louis ROBERT, Maire de Villelaure, commune fortement impactée par les nuisances, d’avoir défendu les intérêts de ses administrés et par là même, aux côtés de Noëlle TRINQUIER et de l’ADECNA, ceux de tous les habitants du Sud-Luberon.
LES DEMANDES OFFICIELLES DETAILLEES
2. L’autorisation de survol de la zone du PNRL - avec une zone tampon suffisamment large (5 km correspondant à la portée du bruit) sur toute la périphérie extérieure du Parc - aux seuls aéronefs (avions et hélicoptères) munis de silencieux et à une altitude minimale de 1.000 m par rapport au niveau du sol. 3. Interdiction de toute voltige au-dessus du PNRL, et donc suppression de la zone de voltige (point central « Pont de Pertuis ») qui empiète sur le territoire du PNRL et la zone tampon extérieure et qui nuit aux zones Natura 2000 du Val de Durance s’opposant ainsi aux arrêtés préfectoraux en vigueur et au principe énoncé dans la réponse de Mme Ségolène Royal, Ministre de l’Ecologie à la question écrite de Monsieur Jean Claude BOUCHET, Député de Vaucluse – 2ème circonscription. 4. Interdiction des vols d’hélicoptères, d’ULM et de paramoteurs provenant de particuliers ou de sociétés privées effectuant des tests de vols, de formation au pilotage ou de baptême de l’air sur le territoire du PNRL et la zone tampon extérieure. 5. Un renforcement et une systématisation des opérations de contrôle et de verbalisation par la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) 6. La création d’un guichet unique orienté client et géré par un indépendant pour l’enregistrement des plaintes de la population (N° vert gratuit) |
Contre les nuisances aeriennes dans le Parc Naturel Régional du Luberon
Annonce archivé
2015-04-12 17:32:58Annonce archivé
Contre les nuisances aeriennes dans le Parc Naturel Régional du Luberon
Communiqué du Parc du Luberon : Reunion de suivi du 20 Mars à la maison du Parc à Apt
2015-03-27 12:48:34
Chers Signataires de la pétition contre les nuisances aériennes dans le Parc du Luberon.
Le 20 mars une réunion de bilan concernant les ajustements négociés le 22 septembre 2014 a eu lieu à la maison du Parc à l'invitation de Madame Geronimi, Sous-Préfète d’Apt.
Je remercie vivement Madame la Sous-Préfète, d'avoir su écouter et d'avoir manifesté si fortement la volonté de résoudre ce problème qui dure depuis trop de temps, ainsi que tous les élus qui se battent depuis plusieurs mois pour sauver les emplois de l’économie touristique et le cadre de vie dans le Parc du Luberon et présents à la réunion .
Des avancées ont pu être décidées et les prochains mois seront décisifs pour notre tourisme et notre vie à l’extérieur. Ils seront scrutés et observés par vous tous, j'en suis certain.
Il est cependant nécessaire de remarquer que le communiqué parle bien d'une étape.
Le processus est bien engagé mais vous ne devez pas arrêter de vous mobiliser et de soutenir les élus qui se battent, car le chemin est encore long et sans votre manifestation, sans vos courriers, vos appels, vos "harcèlements", la bataille ne pourra pas se gagner.
Pas de plaintes signifie pas de nuisances, pas de plaintes alors les avions continueront de voler "allégrement" sur nos maisons....
Vous trouverez le communiqué du Parc sur le blog de la pétition www.parcluberon.fr à cette adresse:
Merci à vous tous de rester MOBILISÉS
L' administrateur de la Pétition contre les nuisances aerienne dans le PNRL
Contre les nuisances aeriennes dans le Parc Naturel Régional du Luberon
Nuisances Aeriennes dans le Parc du Luberon. CA SUFFIT !
2015-03-16 08:22:36Chers Signataires de la pétition citoyenne contre les nuisances aériennes dans le Parc Naturel Régional du Luberon,
Monsieur Jean-Francois Lovisolo, Maire de La Tour d'Aigues et Président de l'Association des Maires de Vaucluse et Monsieur Jean-Louis Robert, Maire de Villelaure, Commune la plus impactée par cette nuisance et premier signataire de la Pétition, ont tout de suite compris l'ampleur de ce problème, soutenu ma démarche et fait le leur ce combat.
Ils ont su fédérer et convaincre d'autres Maires et élus à se mobiliser et à signer la pétition citoyenne. Leurs actions combinées à celle de Monsieur Jean-Louis Joseph, Président du Parc Naturel Régional du Luberon, et à votre mobilisation, ont permis d’ouvrir une négociation avec des avancées jusque-là inespérées.
Néanmoins, ces avancées sont insuffisantes et vous nous le rappelez à juste titre chaque jour et chaque week-end. La situation devient insupportable et désormais inacceptable, de surcroît pour une zone protégée.
Je sais que vous êtes exaspérés, fatigués d’écrire, d’appeler les uns et les autres et de ne pas voir d'améliorations.
Cependant la réunion du 22 septembre a bien mené à des ajustements, pour lesquels il est temps après 6 mois de mise en place d’en faire le bilan.
Monsieur Jean-Louis Joseph, Monsieur Jean-Francois Lovisolo - aujourd'hui candidat aux élections départementales pour le Canton de Pertuis - et Monsieur Jean-Louis Robert défendront le dossier ce vendredi 20 mars 2015 devant la Sous-Préfète d'Apt, la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) et la Base Militaire de Salon de Provence.
La DGAC renvoie à ses responsabilités la base Militaire de Salon.
L’École de pilotage de Salon avec ses objectifs de formation soutient avoir fait le maximum et renvoie la balle à la DGAC pour le respect de la réglementation applicable par les pilotes civils.
Cela semble être la réplique d'un mauvais film. Cela suffit !
MOBILISONS NOUS !
EXPRIMEZ TOUTE VOTRE EXAPERATION RELATIVE A L'INSUPPORTABLE SITUATION DANS LAQUELLE VOUS, VOS ENFANTS, VOS AMIS ET PARENTS, VIVEZ CHAQUE JOUR DEPUIS PLUS DE DEUX ANS.
Envoyez votre courrier avec vos nom, prénom et commune à: stopavions@adecna-sl.fr
Donnez ainsi à Jean-Louis Joseph, à Jean-Francois Lovisolo et Jean-Louis Robert que je soutiens avec toute ma force et toute ma conviction dans LEUR combat, un dossier plein de plaintes individuelles pour nous défendre, pour se battre pour nous, notre vie et celle de nos enfants.
Ne pensez pas que quelqu’un le fera à votre place, ne pensez pas que quelques courriers suffiront pour remplir le dossier pour la négociation.
Non, écrivez tous, chers 1600 signataires, car
IL FAUT DEGAGER LES AVIONS ET AUTRES NUISIBLES VOLANTS DU PARC DU LUBERON
Cela ne vous prendra que quelques minutes, ne vous coûtera pas d'argent, mais sauvera peut être notre bien-être et nos emplois, notre santé et celle de nos familles.
ECRIVEZ MAINTENANT SANS ATTENDRE LE 20 mars 2015
Sinon, nos opposants en concluront simplement que la situation d'aujourd'hui vous convient …
Merci à vous tous
L' Administrateur de la Pétition Contre les Nuisances Aeriennes dans le Parc du Luberon
Contre les nuisances aeriennes dans le Parc Naturel Régional du Luberon
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2014-08-07 11:16:11Annonce Archivée
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